Le gnou est lent, mais la terre est patiente.

mercredi 27 juin 2012

fate is like a virgin.


Par ou commencer quand on débarque de nul part? Avec des marques sur les bras, des cris au fond d'une gorge et des kilos proches de l'obsession. Un peu plus vite, quand on est restée morte si longtemps, de la vie, de l'eau et du sel. Une peau cerise et un sourire impoli. On change, change, alors personne ne comprend. Alors on demande des problèmes. Quel est le problème, je ne sais pas. Peut-être le jour ou j'ai recommencé à sourire. Ce jour, le même, ou j'ai manger une pomme. Libération. Liberté. Des tresses et des mots. Avant, je le hais. Car personne n'oublie le passé. Avec ses souvenirs et ses plumes. Ne changes jamais autrement que pour toujours. Pimpant, sur son vieux puceron. Plein de photos et de sauts, chances de devenir riche! De plonger dans l'eau, de mourir en souriant. Besoin d'autre chose. Alors tu dépenses de la vie, à marcher en souriant, à sourire en marchant. C'est une histoire d'amour. c'est presque émouvant. Un peu plus et je t'aimais. Peut être le jour ou cet incroyable homme, obèse et grisâtre qu'est l'avenir t'expliquera pourquoi tu fais du 85A? Espérons, c'est un garçon plein de surprise! L'autre jour, encore une histoire amusante. Celle où je rencontrais l'homme de ma vie. Ou je bousillais des heures de joie. Ou peut-être on m'aimait pour d'autre raisons. Ou peut être j'arrêtais d'être Agathe Quintin, petite fille boudinée et malmenée par dame nature prout-prout. Café, fort comme vous l'aimez.

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