Le gnou est lent, mais la terre est patiente.

mercredi 6 juin 2012

upside down.

"Embrasses-moi, mets ton doigt dans mon cul. 
Jusqu'à c'que j'en peux plus." 

Écoutes, et tais-toi. Ce que j'ai à te montrer. Tu danses avec un rien. Tu cries que tu sais pas. C'est pourtant si facile, de m'aimer et que je t'aime en retour. Rien de plus simple, que d'être toi. Et d'en pleurer. Mais qu'est-ce qu'il y a de plus aigu? De se réveiller d'un rêve et d'avoir envie de mourir. Et tu es ou maintenant? Avec tes paroles vulgaires et tes promesses. Solides comme rien. Des promesses de peur, parce qu'il y a du mérite, qui fait écarquiller les yeux, et qu'on ne voit jamais. Il est ou le mérite? Outre cette passion, qui rend malade, à en pleurer. Cette sensation de fausse solitude. D’extrémités incurables. De morsures et de clarté, de douleur et d'envie. Mais c'est toute cette beauté. Qu'on voit partout, tout ces traits qu'on devine. Baisses, tes bras, je suis juste une humaine, je t'aime juste plus fort, plus fort que  la tempête. 
C'est d'oublier tout le reste qui m'effraie. C'est cette prison pleine de larmes d'amour. Il s'agit d'une séparation in-envisageable. D'une souffrance physique. J'ai plus besoin de parler pour pleurer. Ils peuvent tous aller se faire mettre. Tu croises un de ces animaux là au coin d'une rue et tu devines sous ses poils que tu penseras à lui pour toujours. C'est étrange, à quel point je suis exécrable.  


"Je suis un peu maladroit."
"Nan sérieux? Je t'aime."

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