Le gnou est lent, mais la terre est patiente.

lundi 4 juin 2012

i woke up to go pee.

C'est triste, de rêver. Et d'attendre et d'espérer, que ce rêve là ce réalisera. C'est triste de penser. A celui qu'on a peut-être croiser au coin de quelque part. A celui qu'on à revu en rêve. Et ce souvenir, auquel seul notre esprit à sut s'accrocher. Aucun nom. Nul part, sous l'eau, une fois. Il n'y a rien que cette lumière, tout ces gens, et rien que toi, parce qu'au tour il y a tout ces visages que je connais, ces voitures, ces jeux, ce bruit, cette neige, cette eau, que je connais, et puis, et puis toi. Toi qui n'a rien à faire là, rejoins moi là ou je suis impuissante, oui tout ce que je peux faire c'est me réveiller. Et j'ai mal, de sortir, de l'eau, j'ai mal de te laisser au milieu de cette foule urbaine et aquatique, et j'ai mal de partir sous cette neige, de te chercher à en mourir. De crier ton nom et de jouir sur tes lèvres. Tu t'enfonces et je crie encore plus fort. J'ai mal et tu pars, tu ne m'entends même pas. Tu as marcher si vite! Et je cours si lentement! Attends, attends moi, je veux mourir en ce rêve. Je veux te retrouver, s'il te plait je veux que ça recommence. C'était trop bon pour oublier. Je veux te retrouver. Je cours si lentement, et il fait tellement noir, là-bas dehors.

Il faisait noir et je dormais, il ne portait rien d'autre qu'une peau et du flou. Et j'étais moi et c'était lui. 
Il m'a serrer et on m'a dit que c'était mal, mais je n'en voulais plus. Je n'en voulais plus. 
C'est une caresse qui fait mourir, et des cris qui font transpirer. 
C'est un simple rêve d'amour, rien qu'une silhouette et du toujours. 

Et puis, et puis plus rien. Juste un souvenir, rappelles-toi, cette nuit. A observer chaque détail du démon, et à te blottir dans ses bras. Tu ne peux qu'être triste et pleurer, c'est moi qui l'ai décidé.


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